La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son travail dans l’ombre tamisée de son usine. Son business à broder, fidèle animal de compagnie de ses prédictions silencieuses, laissait se transformer des fils d’or et de soie entre ses doigts. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, comme par exemple si chaque

Une nuit, elle rêva d’un vaste champ parsemé de bijoux magiques, créant des cercles concentriques à proximité d’un arbre solitaires. Dans le résultat, elle avançait délicatement prosodie l’arbre, sentant une valeur qui l’attirait irrésistiblement technique poétique ce centre. Au réveil, elle se sentit enveloppée par cette illusi